Ai-je le droit de te considérer comme MA propriété?

J'étais dans ma chambre étendu sur mon lit. J'avais les yeux clos, mais je ne dormais pas pour autant. Mon Ipod était sur mes oreilles, j'écoutais une chanson de The Script, un groupe qui me détendait à chacune de ses chansons. Enfin, j'étais couché tranquillement. Je sentais la fatigue s'éloigné de mon corps. J'étais prêt à sortir pour me défouler, mais en même temps ma paresse me faisait restée allongée dans mon lit. Je ne voulais pas bougé bien que mon corps aurait bien aimé un peu se dégourdir. Je préférais revasser, rêver à moitier d'image floue et de sensations étrange. En même temps que je me levais finalement je voyais ma chambre sous un autre jour. La lumière qui baignait à moitié la pièce me laissait voir un désordre incroyable. Je décidais de d'abord tout rangé. Ce qui me prit pas mal de temps. Il fallu que je trie mes vétements. Ceux qui devait être lessiver et ceux qui au contraire se trouvaient au mauvais endroit. Une fois cela fait, je regardais la tonne de morceau de papier et feuille volante qui trainait. J'avais fait pas mal de brouillon ces derniers jours. Pourtant rien ne sortait, enfin rien de bien réjouissant. Je préférais ne pas les garders, ceux-ci plombaient plus mon humeur qu'autre chose. Une fois cela finit je décidais d'aller prendre une bonne douche. J'allais dans ma salle de bain prennant d'autre sous-vêtement.

Je rentrais sous l'eau qui était trop froide à mon gout, alors je tournais le bouton comme d'hab' prennant une douche bouillante. C'était grisant comme impression de sentir l'eau transpercer votre coeur. J'avais parfois l'impression qu'elle passait la barrière de ma peau touchant tous ce qui me constituait. Alors que je sortais de ma douche, j'entendis quelqu'un toqué à ma porte. Je me sechais vaguement enfilais mon boxer avant de courire vers la porte. Je n'allais pas laissé la personne attendre. Ouvrant la porte je pu voir Rosalee, je souris très largement alors que seul ma porte passait du cadre de la porte. J'ouvris plus largement celle-ci laissant la jeune femme rentrée.

-Salut, tu as de la chance je viens de finir de rangé.

Mes cheveux était encore tout dégoulinant et ça me rapella la dernière fois qu'on s'était vu. Je souriais toujours comme un bienheureux alors que je l'invitais à s'assoir.

Je la vis rougir et je souris légèrement. Ca m'amusait de voir les rougeurs qu'elle arborait sur ses joues. Je la sentis ensuite le contour de mon visage à l'aide d'un de ses doigts. Ce qui me détendait extrêmement, la douceur de sa peau frolant la mienne me détendait. Ensuite elle se rapprocha de moi alors que je passais mes mains sur ses hanches, alors qu'elle collait tout son coeur contre le mien. Nous nous embrassions alors que de temps à autres elle s'arretait afin de reprendre son soufle et j'en faisais autant. Je l'entendis ensuite dire qu'elle n'aimait pas l'eau, étant des feu nous n'étions pas sensé aimé trop l'eau. Enfin, ca dépendais des personnes. Mes mains toujours posées sur ses hanches je la regardais en souriant. Ca m'amusait qu'elle dise cela, ensuite elle me lacha, à regret je la laissais faire quelque pas. Elle se mit à me reprimander sur le fait que je ne me sechais pas les cheveux.

-Pour ma défense je dirais qu'une certaine personne est venu toqué à ma porte alors que je commencais à m'essuyer les cheveux !

Je la vis à nouveau rougir et je me demandais si c'était à cause de ce que je venais de dire. Ne sachant pas je fis un pas vers elle, elle rougissait encore plus. Je l'attrapais par les hanches et me remettais dans la même position qu'avant. Ce qui m'étonna le plus ce fut sa question. Elle me demandait si j'aimais bien Kendra. Cette question eu le mérite de totalement me décontenacé. Je posais mes mains sur ses joues avant de lui répondre :

-C'est une amie pourquoi ?

Ca m'étonnait qu'elle me pose cette question. Je ne voyais aucune raison qui aurait pu lui donner un doute à ce niveau-là. Je ne savais même pas qu'elle connaissait Kendra. Je caressais ses joues à l'aide de mes pouces, tout en souriant, j'avais hate d'avoir la réponse.

Je la regardais alors qu'elle me disait que ce n'était rien et que c'était juste pour savoir. Elle m'avait dit cela donc je ne m'intéressait pas au reste. Je continuais à la regarder, mais je voyais qu'elle fuyait mon regard. Ce qui était assez drôle, vu que ça signifiait qu'elle me mentait. Enfin, je ne m'en offusquais pas pour autant. Ensuite elle ne tint pas, m'avouant ce qui s'était réellement passé. J'étais content qu'elle ai été franche. Mais en même temps j'étais choqué par ce qu'elle m'avait dit. Kendra serait amoureuse de moi ? ! Oh, ça c'est... pas si étonnant que ça dans le fond enfaite. La fin de osn explication fut surement la chose la plus mignone que j'ai jamais entendu. J'allais répondre quelque chose alors qu'elle enfouissait son visage dans mon cou. Alors je passais mes bras autour de ses épaules afin de la tenir tout contre moi. Je passais une main dans ses cheveux en respirant son odeur. Ensuite je sentis de l'eau tombé légèrement sur mon épaule. Puis des sanglots parcourèrent entiérement le corps de Rosalee. Je la serrais plus fort contre moi afin qu'elle cesse. La lachant lorsqu'elle se mit à se calmer je reculait très légèrement afin de la regarder dans les yeux :

-J'ai une seule chose à dire... je ne savais pas que je comptais pour toi à se point.

Je reposais mes mains sur ses joues, je ne m'étais réellement pas rendu compte que je comptais à ce point pour elle. Ca faisait battre mon coeur plus rapidement. J'étais encore étonné de ressentir ce genre de chose. Mes mains toujours sur ses joues, je lui caressais les joues très légèrement. Je me rapprochais très légèrement de son visage. Effleurant d'abord ses lèvres. Je la regardais dans les yeux faisant exprès de la faire patienter. On m'a toujours dis que les choses pour lesquelles on languis sont les meilleures. Je recommencais à effleurer ses lèvres avant de l'embrasser réellement. Fermant les yeux et me laissant envahir par les émotions que je ressentais à son contact.

J'entendis à peine sa phrase, mais je souriais tout de même. Le baiser fut inoubliable pour... sa courte durée. Ensuite elle posa LA question. Enfin, je me comprends. C'est la question typique ou on entend la sirene d'alarme hurler dans les hauts parleur : "Fuyez le navire !!!!". Bien sur, en gars intelligent je me tus. Il fallait d'abord que j'ai une mure reflections pour répondre à cette question. Alors que je réfléchissais elle commenca à me dire les choses qui me font le plus peur. Soit, moi je vois le genre. Relation, fidéliter, et tomber amoureux était des mots ou expression que j'excluais volontairement depuis... Le début. Enfin, je l'écoutais attentivement, je n'allais pas non plus répondre après de telles phrase. Ce qui me souffla totalement, ce fut avec certitude le "je t'aime" qu'elle me souffla quelques instants après. Je me taisais toujours, la regardant dans les yeux. Mon visage était le même, infranchissable derrière cette barrière de certitude. Le petit problème c'était que derrière mon air confiant j'avais réellement la trouille. Ce n'était pas comme si j'étais du genre à me jetter à l'eau. Surtout dans des endroits ou je n'ai encore jamais nagé (métaphore bien entendu). Je continuais à la regarder, en tout cas j'étais certain que ce n'était pas du flirt. Mais d'un autre côté, je n'ai jamais été un gars fidèle. Je ne suis jamais tombé amoureux, je ne sais pas ce que ça fait. Je n'ai jamais pu que m'imaginer ce que ça faisait en regardant les autres. Mais pour ma part je n'y avais jamais eu droit. Comme si l'amour était prohibé à certainnes personnes, dont j'en ferais parti. Enfin, le silence s'allongeait. Je commencais à me rendre compte que je devais joué avec les nerfs de Rosalee sans le vouloir. Alors, tachant d'épurer mes pensées et d'être franc je répondais :

-Ce n'est pas un simple flirt, tu es plus que cela c'est certain.

Mais plus jusqu'où ? De l'amour ? Une simple attirance que je voudrais voir continuer ? Un plaisir mesquin à voir jusqu'où ses sentiments pourrait la pousser pour moi ? Je n'en savais rien, et mon put**n de coeur qui faisait des siennes. Ca en était très énervant.

Rosa s'excusa d'avoir lancé le sujet, j'allais lui répondre que non. Elle n'avait absolument pas à s'excuser, dans le fond c'était moi qui n'arrivait pas à savoir ce que je ressentais et à mettre mes idées en place. Ce n'était en rien de sa faute. J'allais lui répondre, mais je la vie commencer à être transparente. Ah euh... ça fait bizarre de voir quelqu'un littéralement disparaitre sous vos yeux. Je peux l'affirmer là. Je l'entendis ensuite s'exclamer de manière ,assez drôle, j'utilisais rarement cette expression là. Je disais plutôt des grossiértée. Je souris amusé alors qu'elle disait cela. Je la regardais ensuite remercier dieu avant de dire qu'elle n'osait pas imaginer ce qui serait arriver si elle avait été ange. Je la regardais tremblé quelque instant avant de m'approcher d'elle. Je m'allongeais à côté d'elle. Me surelevant à l'aide de mes bras afin de pouvoir la regarder. Je passais une de mes mains dans ses cheveux en lui souriant tendrement. Je ne voyais pas réellement comment faire cesser tout ses tremblements. Je continuais donc juste de lui caresser le visage jusqu'à ce qu'elle se calme. Je ne savais pas quoi faire, pas quoi dire. J'étais là, sans savoir ce que je devais faire, ce qui était assez frustrant pour être vrai. Ouvrant finalement la bouche, je laissais un flot de paroles continue dire ce que je pensais réellement :

-Ce n'est pas que ce n'était pas le moment, enfin... je veux dire que moi non plus je n'ai jamais été amoureux. J'ai toujours collectionner les filles. Pour être clair, je ne sais pas ce que je ressens.

Ca avait le mérite d'être clair. Je ne voyais pas quoi dire d'autre. Je ne savais pas quoi dire d'autre. Je continuais donc en silence à lui caresser la joue du bout de mon index. Foncer droit dans un mur et acceléré quand même, qui est l'imbécile qui à dit ça encore ?

Je l'écoutais sans rien dire. La fixant dans les yeux sans bougé. Qu'est-ce que j'aurais bien pu répondre à cela ? Que je la comprennais ? Que si elle croyait que c'était des paroles en l'air ce ne l'était pas ? Que depuis le divorce de mes parents et même avant j'avais peur d'aimer ? Que l'idée folle de pouvoir me faire briser le coeur à cause d'une autre personne me rebutait ? Je ne me voyais réellement pas lui dire cela. Comment est-ce que moi le gars fière, du moins qui a toujours essayé de le rester, pourrait lui dire cela ? Aimer c'est faire tomber ses défenses, donné la possibilité à une personne qui ne devrait pas l'avoir de vous détruire. De réduire en poussière chaque parcelle de votre être. Une chose que je n'ai jamais pu admettre. On m'a toujours dit qu'on était plus fort en aimant. Mais c'est étrange, au final, aimé ses toujours une rupture. On se rencontre, on se connait, on s'aime, on se dispute, on se sépare, on se déteste, on en souffre. C'était et c'est toujours le même schéma. Je n'ai jamais voulu de l'amour que l'imaginer. Il est tellement plus beau d'imaginé un mot, de le galvauder. Il n'est de plus beau mot que le bonheur lorsqu'on l'imagine parfait et sans ombres. Vous ne croyez pas en tout cela, vous croyez qu'il vaut mieux le vivre ? Que de risquer de souffrire vaut ces quelques instants de bonheur ? Que le frissons qui vous parcours lorsque vous sentez cette personne proche de vous... Que cette impression étrange lorsqu'elle n'est pas là, ce manque, est enviable. Qu'il vaut mieux souffrire à la fin en ayant vécu cela que de ne pas l'avoir vécu. Je ne sais pas, enfin je veux plutôt dire que je ne sais plus. Au fond on s'en fiche. Je ne suis qu'une poule mouillé. Qui préfére vivre l'amour à travers des livres trop embélli. A travers les mots d'ancien romantique, qui de leurs sensibilitée exacerber vous faisaient prendre plaisir à souffrir.

-Moi non plus je ne sais pas ce que je veux, on est pareille dans le fond.

Ses mots avaient atteint mes oreilles flou, comme si je ne l'écoutais pas réellement. Pourtant je les avais compris et assimiler. Enfin, sur le moment ce n'était pas le plus important. Je sentais ses mains sur mes joues, son souffle chaud contre ma peau. Mon coeur qui cessait de battre dans ma poitrine. Le sang coulait douloureusement dans mes veines, trop rapidement. Je répondais à son baiser, aussi passionné qu'elle. Je ne voulais pas que ça s'arrete. Jamais, pas maintenant. Je sentais sa main sur mon torse alors qu'elle intérompait notre baiser. J'aurais bien reprit possesion de ses lèvres de force, mais je n'en eu pas le temps. Je sentais déjà ses lèvres dans mon cou. Je la laissais faire, alors que ma respiration devenait haletante et saccadé. J'avais l'impression de piquer un sprint dans une montée insurmontable. Pourtant j'allais plus vite. Ne voulant pas que ça s'arrete. Mon coeur accelerait ses battements, comme si il devait faire un effort. Cette sensation n'était pas mauvaise. Je l'appréciais même. L'arrachant presque de moi, je lui attrapais les épaules pour la collé au lit alors que je reprennais possesion de ses lèvres. J'en étais presque violent tellement je me laissais emporter.

Je la plaquais littéralement au lit. Pressant mon corps brulant d'une fièvre si étrange, contre le sien. Je sentais ses bras autour de mon cou et me déléctais de chaque contact avec elle. Je ne me laissais pas le temps de respirer. Me laissant enivrer par sa fragrance. Je sentais ses mains sur mon corps alors qu'elle venait de défaire le noeuds de sa robe. Morceau de tissus que je retirais délicatement de ses épaules. Ce qui contrastait avec la force bestial que j'utilisais pour la tenir coller au lit. Mes mains parcourait ses courbes alors que de temps à hautes je me laissais le droit de reprendre ma respiration. J'étais bien heureux de ne pas avoir eu le temps de m'habiller, je sentais sa peau brulante contre la mienne toute aussi chaude. La passion qui me consumait était ennivrante. Je la laissais m'habiter alors que je m'attaquais à la chair tendre de son cou. Je mordillais légèrement sa peau, la suçotant de temps à autre celle-ci. Bientôt en manque de ses lèvres je remontais jusqu'à celle-ci. Mon coeur était au bord de l'implosion. Moi j'étais au bord de l'évanouissement, entre mon manque d'air et les battements frénétique de mon coeur. J'avais l'impression d'être dans des montagnes russes vertigineuse. C'était merveilleux.


Etendu sur le lit les yeux clos j'écoutais la lente respiration de Rosalee. Ma tête posée sur son ventre je profitais de l'instant de douceru auquelle j'avais droit. Ne bougeant pas je la sentit me prendre la main. Elle comença à joué avec alors que je ne bougeais toujours pas. J'étais trop bien que pour fermer les yeux. J'avais chaud, je me sentaiss tellement bien. J'avais l'impression que bouger briserait l'harmonie du moment.

[C'est ti que t'es pudique lol, tkt il était cool ton post c'est mieux que deux lignes mdr(oui ca arrive de faire l'amour en deux ligne ... XD)]

Je sentais ses mains dans mes cheveux, ensuite le long de mes joues, s'amusant à faire le contour de mon visage. Je ronronnais de temps à autres, j'adorais cette sensation. De temps à autre il m'arrivait aussi de pousser un soupirement d'aise. Les yeux toujours clos je me laissais aller au sensation brumeuse que je recevais. Ses caressait me donnait la chair de poule, pourtant j'avais toujours aussi chaud. Je me sentais bien, comme si je me trouvais dans un monde de douceur. La lumière perçait de moins en moins à travers mes paupières. Comme si le soleil se couchait. Je ne pris pas la peine d'accorder une quelconque importance à ce détaile. Je me laissais pour de bon au sommeil qui commencait à m'habiter. Je ne ronglais pas, je ne bougeais pas. Seul ma respiration réguliere qui faisait se lever et se baisser ma cage thoracique prouvait que je dormais. Je ne sentis même pas Rosalee se levé. J'étais trop endormis que pour remarquer quoique ce soit. Etaler dans mon lit une couverture me recouvrant à partir de la taille je dormais comme un bébé.

Je ne sais pas ce qui me réveilla, l'absence de SA fragrance qui quelque instants auparavant saturait l'air ? Le fait que mon esprit endormis commencait à se rendre compte qu'elle n'était plus à côté de moi ? Je ne savais pas, tout ce que je savais c'est que mes paupières close se soulevérent très légèrement. Essayant de m'habituer à la lumière, qui était très faible, je décidais finalement de refemer les yeux. Je tatonais sur ma table de nuit afin de trouver la télécomande de ma chaine Hi-Fi. Une fois trouvée je l'alumais, sans réfléchir à quelle était le dernier Cd resté dedans. La musique était douce, la voix du chanteur me rapella le nom du groupe directement : "Secondhand Serenad". Un de ses groupes qui chantent l'amour dans toutes ses chanson. L'amours, la rupture, la douleur causé à cause de cette rupture. La chanson s'appelait : "Why", je le savais bien. Les paroles était triste, un garçon qui demande à son ex pourquoi elle lui a fait ça si aisément :"Why do you do this to me ? Why do you do this so easily." Une chanson d'amour bien triste, j'allais changé, mais la télécomande tomba de mes mains. Trop paresseu que pour la chercher, je me remettais correctement sur mon lit et essayait de dormir, entendant en fond musical la voix du chanteur et l'eau de la douche qui coule.

[Bah il suffit der s'être bien préparé : hop prêt... c'est partit! Fin xD]