Piccadily Questions

Enfer et damnation ...
Qu'est-ce que je fait ici ... ? ... Quel est cet endroit ... Je ne comprend pas ... Je suis ici pour ça ... J'aimerais des réponses ...
Mais qui est ce Philos ?? ... Je ne me suis même pas présenté ...

Mais répond ... répond ...

Pourquoi suis-je ici ? ...
Ma main commenca a faire comme chaque fois que j'etait énervé ... Non ce n'est pas le moment de reveler mon secret ... NON !!!

Christopher se calma ... et après un moment de répis, il continua a frapper ...

J'entendais, du fond de ma douce tropeur comateuse, un vague bruit qui semblait m'indiquer le fait que quelqu'un veuille entrer dans mon bureau.
Je me réveillai en sursaut, tentant de remettre un peu d'ordre sur mon bureau -autant dire que c'était peine perdue-, avant de dire :

- Entrez !

J'entrai en trombe dans son bureau ...

-C'est vous le directeur de cette école ?

Je m'approchai de lui ... apres un long instants de regards pas si gentils que ca ..., je lui serrai la main ...

-Je me presente ... Christopher Ellington ...

Puis , je me retournai ... de sorte qu'il me voit face dos ...

-J'ai besoin de vous ...

Je le regardai, mi-amusé mi soucieux. Un peu agacé, aussi, mais enfin.

- Pourquoi ? demandai-je simplement.

-Parce que nous avons le même probleme ...

Je le regardait changer de visage ... il devenait soucieu ... voir inquiet ...

J'haussai un sourcil.

- Le même problème ?

Si seulement il conaissait ne serais-ce qu'un quart de mes problèmes, je ne pense pas qu'il serait en mesure de le supporter ...

-Tu ne comprend donc pas ?? ... j'ai besoin de ca ... pour ca ...

Je lui fit entendre une voie dans ma tete ...

--POUR MOI ABRUTI--

Je ne comprenais pas un mot de ce qu'il me disait. Pour ça ? Besoin de ça ?

- Tu es sûr que tout va bien ? Parle moi franchement et clairement, s'il te plaît, dis-je.

-Aide moi ... a faire sortir mon autre de ma tete ...

Je me raidis.

-Oh. Je vois, dis-je.

Je croisai les bras sur mon torse.

- C'est impossible, soufflai-je.

-Malheuresement ...

Je blemit et me mit a baisser la tete ...

-Aide moi ... je t'en supplie ...

Je le regardai, dans une totale incapacité de réaction.

- Je ne peux pas parce que je ne sais pas. Explique moi ce qui t'es arrivé, et je te promets... je te jure de tout faire pour t'aider.

Je le regardai fixement.

-SI JE SAVAIS CE QUI M'ETAIT ARRIVES JE NE SERAIS PAS ICI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!...

Mon autre me controlais ... mon enervement n'etait pas naturel ... mon autre me controlais ...

Je me levai, et m'approchai de lui, pour finalement charger ma main en vent, et lui décocher une baffe qui le fit voler le long de la pièce.

- Ne te laisse pas contrôler ainsi, sifflai-je. Ce n'est pas lui qui est fort, c'est toi qui es trop faible.

-Espece de ...

Je reprit le controle ...

-Pardon ... je suis faible ...

Je reculai.

- Excuse moi. Je me suis emporté pour rien.

Je le regardai.

- Garde à l'esprit que c'est dans ta tête que le combat se passe. Et que ta double personnalité a beau être virulente, il y a bien pire.

J'enleva le gant qui enveloppait ma main gauche ...

-Il controle ma main ...

Je fit decouvrire un enorme tatouage representant un cercle en forme de soleil , réalisé en flammes noirs non remplies ...

En voyant le tatouage, je frissonnai. Il était si semblable à ... Je soufflai doucement :

- Aurais-tu tenté, en te sentant différent... quelque chose ? C'est important, sois sincère.

-Je n'ai jamùais rien tenté ... c'est pour ca que je suis ici ...

Ma main fit un saut immense vers Philos ...

-Il controle ma main ...

Je soupirai de soulagement. Ce n'était pas ce que je craignais.Le tatouage y ressemblait, mais ça devait être autr chose.

- Quand est-ce que c'est apparu ?

-Quand mon autre est apparu ...

Je le regardait ... fixement

-Je t'en supplie ... aide moi ...

- Je veux bien t'aider, mais il faut que tu me dises quand ton autre toi est apparu !

-A la mort de mon frere ... mais tu as faux sur un detail ...

Je le regardais d'un air superieur ...

-Ce n'est pas un autre moi que j'ai ... c'est mon frere ...

Je le regardai fixement. Tout s'expliquait. Ce type de phénomène était fréquent, et avait du muter à la suite de l'appel.

- Que veux-tu que je fasse ?

-Le faire sortir de ma tete ...

C'etait ma seule obsession ...